Fanny Pelichet, née le 25 janvier 1981 à Nyon.

 

 

 

Son enfance se déroule dans la joie et la béatitude entre le petit village de Crans-sur-Céligny et

la petite bourgade de Rolle.

Une enfance lacustre.

 

Très vite elle est attirée par la créativité et quand on lui demande ce qu’elle veut faire plus tard ,

entre le découpage d’une boîte de "vache qui rit" et un dessin 100% stylo bic,  elle vous répond :

artiste, dessinatrice de bande dessinée, pilote de formule 1, comédienne, graphiste,

bricoleuse ou vendeuse de croissants à Hollywood.

Elle découvre l’intensité de la scène vers l’âge des 5 ans, lors d’un spectacle de rythmique et

dès lors les choses s’enchaînent : spectacles de danses, récitals de piano et mises en scène

de salon à l’attention de ses parents (les chanceux).

 

L’affaire se concrétise au Gymnase de Nyon où elle commence des cours de théâtre,

foulant les planches du Funambule et rejoint dans la foulée l’équipe des présentateurs

de l’émission « les Zaps » pour la TSR.

Avide de poursuivre dans cette voie, elle passe une année en préparatoire de théâtre à l’ESAD

(école supérieure d’art dramatique) à Genève, puis prend un virage à 180 degrés et fait un détour

par les Beaux-Arts où elle pratique la preformance, la vidéo, la peinture et la mise en scène.

 

Enfin (diront ses parents) elle fait une formation professionnelle de comédienne à l’école

de théâtre Serge Martin ( et non pas Jacques Martin comme l’eût cru son père) et reçoit

son diplôme en juin 2006.

Depuis elle enchaîne les projets théâtraux et cinémas et a fondé sa propre compagnie,

le « collectif douche froide », qu’elle co-dirige avec Patricia Mollet-Mercier et Matthieu Béguelin.

Elle a travaillé notamment sous la direction de : Frédéric Pollier, Serge Martin, Georges Guerreiro,

Patrick Mohr, Michel Favre, Matthieu Béguelin, Emmanuel Moser, Valentine Sergo, Jean-Gabriel Chobaz,

Miguel Fernandez, Patrice de Montmollin, Nathalie Lannuzel, Daniel Vouillamoz, Nana Divina,

Maryama Sylla, Vincent Bonillo et d’autres…

Et elle a aussi rapé les planches des théâtres Pitoeff, l’Alchimic, T/50, Pulloff, Pommier, Passage,

Poudrière, Traverse, Parfumerie, Orangerie, Chat Noir, Petit Globe…

 

Au cinéma elle a été imprimée sur pellicule à travers divers courts métrages

plus ou moins chocs et quelques longs comme "Insoupçonnable" de Gabriel le Bomin,

l’enfant d’en haut d’Ursula Meier ( oui bon elle a été coupée au montage) et en fait c’est tout.

 

Ah oui, elle a aussi brulé de la bande dv avec Frédéric Choffat durant un stage sur l’acteur et la caméra .